Gas: 42% increase in Engie rates to come?
La flambée des prix réglementés du gaz à compter du 1er décembre aurait dû atteindre 42% au 1er décembre. Le gouvernement a décidé de les geler. Mais les consommateurs devront bien finir par payer.
Un ouf de soulagement pour les 5 millions de ménages qui dépendent encore des tarifs réglementés d’Engie. Le gouvernement a décidé de geler les prix du gaz jusqu’à la fin 2022 face à l’envolée des cours. Les consommateurs ont déjà échappé à une première flambée de 19,5% TTC au 1er novembre. Idem pour décembre.
Le régulateur du secteur de l’énergie, la CRE, vient de révéler ce mardi qu’une nouvelle hausse de 19,1% a été évitée à compter du mois prochain. « Le niveau moyen des tarifs réglementés de vente au 1er décembre 2021, aurait été supérieur de 46,5% HT, soit 41,9% TTC par rapport au niveau en vigueur fixé au 1er octobre », explique la Commission de régulation de l’énergie dans un communiqué.
L’exécutif a donc bloqué ces hausses successives qui n’en finissent pas. Il faut dire que les consommateurs avaient déjà dû faire face à un bond de 10% en juillet, de plus de 5% en août, de 8,7% en septembre et encore de 12,6% en octobre.
La flambée des prix réglementés du gaz à compter du 1er décembre aurait dû atteindre 42% au 1er décembre. Le gouvernement a décidé de les geler. Mais les consommateurs devront bien finir par payer.
Un ouf de soulagement pour les 5 millions de ménages qui dépendent encore des tarifs réglementés d’Engie. Le gouvernement a décidé de geler les prix du gaz jusqu’à la fin 2022 face à l’envolée des cours. Les consommateurs ont déjà échappé à une première flambée de 19,5% TTC au 1er novembre. Idem pour décembre.
Le régulateur du secteur de l’énergie, la CRE, vient de révéler ce mardi qu’une nouvelle hausse de 19,1% a été évitée à compter du mois prochain. « Le niveau moyen des tarifs réglementés de vente au 1er décembre 2021, aurait été supérieur de 46,5% HT, soit 41,9% TTC par rapport au niveau en vigueur fixé au 1er octobre », explique la Commission de régulation de l’énergie dans un communiqué.
L’exécutif a donc bloqué ces hausses successives qui n’en finissent pas. Il faut dire que les consommateurs avaient déjà dû faire face à un bond de 10% en juillet, de plus de 5% en août, de 8,7% en septembre et encore de 12,6% en octobre.